Mon prénom est Jo. Je suis né.e en 1993 dans un petit village en Alsace.
En 2016, on m’a donné un diplôme à la Haute École des Arts du Rhin de Mulhouse, parce que j’ai travaillé dur pour questionner et mettre en espace notre rapport à l’enfance.
Aujourd’hui ma maison est au Québec et je suis un programme de Doctorat en Études et Pratiques des Arts à l’Université du Québec à Montréal, comme ça, je peux continuer à étudier les affects issus du souvenir de nos premières interactions sociales et à fabriquer des oeuvres qui parlent de ça. Ils appellent ça la recherche-création.
Ma production se situe en dehors de la hiérarchie esthétique qui sépare l’art et le divertissement, et qui définit le sens du beau. Les productions culturelles les plus triviales, le plastique et le low-cost peuvent aussi supporter un passé collectif et individuel, et remettre en question tout ce qui conditionne notre identité, notre rapport à l’autre et à la différence.
J’aime partager l’imaginaire aussi mesquin et corrompu que délicat qui a été le mien. J’ai l’intention de faire revenir le cauchemar épouvantable de l’enfance en le mêlant à son rêve.
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